Pauline (Entre les pages), Cécile (La Maison livre) et Blandine (Vivre Livre) ont réalisé une très belle interview croisée du roman Le sourire du diable paru en décembre.
Merci infiniment <3
Leurs questions pertinentes et sensibles m'ont beaucoup touchée.
Leurs chroniques du mois de janvier étaient ici, ici ou ici (cliquez sur les mots), et vous pourrez trouver l'intégralité de cette interview sur leurs blogs (en cliquant sur leurs prénoms).
Voici un extrait :
Je partage également la chronique d'une jeune lectrice de 11 ans :
Merci infiniment <3
Voici un extrait :
(...)
Pauline : Dans Le
sourire du diable, vous vous inspirez de thèmes qui vous touchent
personnellement (la famille, les relations mère/fille, la résilience),
pensez-vous qu'un auteur doive toujours insérer une part de vécu dans ses
écrits ?
Personnellement, je pense que c’est indissociable : j’écris à
partir de ce qui me touche, et ce qui me touche fait forcément écho à des
évènements ou à des ressentis personnels. En général, c’est cet élément
déclencheur qui donne le point de départ du texte.
Peut-être que tous les auteurs ne fonctionnent pas ainsi, mais en tout
cas, ceux que je connais et avec qui j’échange ont la même façon de procéder.
Cécile : La musique est très présente dans vos romans.
Ecoutez-vous de la musique quand vous écrivez ? Si oui, écoutez-vous la
musique citée dans le roman ?
Oui, tout à fait, et lorsque j’aime un morceau je peux l’écouter une
vingtaine de fois à la suite, jusqu’à en connaître chaque variation par cœur.
Imagine et Si j’étais né en 17, par
exemple, font partie de ces morceaux
et je les ai réécoutés pendant l’écriture du roman.
Blandine : Dans ce roman, le silence
occupe autant de place que les mots (écrits ou parlés) (je m’en suis rendue
particulièrement compte en rédigeant ma chronique), ses différentes
manifestations ont-elles été voulues dès le début ?
Je m’en rends compte en vous lisant, Blandine ! Je l’ai sans doute
fait de façon inconsciente.
Le silence, comme un besoin pour poser les choses, réfléchir.
Mais également, comme un refuge ou pour s’isoler de quelque chose de
trop difficile.
(...)
Le sourire du diable, de Nancy Guilbert
Merci, Judith, pour cette chronique émouvante,
et merci à vous, chroniqueuses, libraires et lecteur.trice.s,
qui ont déjà adopté ce roman.
Cet article tombe tout juste au moment de la Journée internationale des droits de la femme, qui n'est pas une fête, mais bien une prise de conscience des violences faites aux femmes.
Merci pour ce partage Nancy.
RépondreSupprimerJe n'écris pas de livre même si c'est un souhait au fond de moi (bien que je ne me sente à la hauteur) mais je crois en effet qu'il doit être difficile de se détacher de son vécu.
En écrivant mon billet du jour, j'ai pensé à ton roman "Deux secondes en moins" même si je n'ai pas encore eu l'occasion de le lire. Je connais un des événements rattaché à l'histoire.
Bises
Merci à toi Miss Brownie <3
SupprimerTon billet m'a beaucoup émue.
Tu serais à la hauteur, je pense, pour écrire un livre. Il faut juste y croire ;-)
Bises
Merci infiniment Nancy pour avoir répondu à nos questions autour de votre roman, qui nous a toutes touchées <3
RépondreSupprimerAu risque de me répéter, mille mercis à vous trois pour votre délicatesse et vos questions attentives <3
SupprimerMerci à vous Nancy pour ces belles histoires que vous nous offrez !
RépondreSupprimerEt bravo à Judith pour sa belle chronique !
Merci Cécile, vous savez ô combien <3
SupprimerEt merci pour Judith aussi, que je ne connais pas du tout ;-)
Je suis heureuse que la critique de cette oeuvre extrêmement réaliste et touchante revienne alimenter ton blog.
RépondreSupprimerJ'apprécie ton grand talent empreint de sincérité et confirme qu'il est nécessaire de partir d'un vécu, d'une émotion, d'une observation pointue pour s'exprimer avec justesse dans un écrit (qu'il soit un roman ou un poème)
Quel beau chemin qu'est le tien !
bisous
Que tes mots me touchent Thérèse ! Merci infiniment.
SupprimerJe t'embrasse.
Oh, magnifique!!!!
RépondreSupprimerComme je partage l'avis de ces lectrices!!!!
Tu as fait un roman touchant!!!
Si j'étais né en 17 est uen chanson que j'adore!!!!
Belle soirée à toi.
Biz
Mille mercis pour ton enthousiasme, Günes, et pour ta belle chronique sur FB !
SupprimerJe t'embrasse.
Ce très beau roman me touche beaucoup par les thèmes abordés.Et nous, qu'aurions-nous fait à cette époque si sombre? Aurions-nous été "meilleurs ou pires que ces gens"?
RépondreSupprimerLa chanson de Goldman (que j'adore) résonne si bien avec votre roman. J'aime à penser que vient toujours le moment de la résilience et peut-être même du pardon.
Karyne
Merci pour ce doux message Karyne.
SupprimerPardonner ne signifie pas oublier en effet, mais se libérer d'une souffrance pour entrer dans la résilience...
Je trouve cette chanson extraordinaire aussi. Elle permet de prendre du recul.
À très vite !
Merci de mettre l'interview et nos blogs en avant, Nancy ! Et merci pour votre disponibilité pour vos lecteurs et lectrices <3
RépondreSupprimerJ'ai adoré cette aventure. Notre entretien entre lectrices arrive très vite !!!!
Merci à vous, Pauline, pour l'initiative de cette belle interview <3
SupprimerMes lecteurs seront toujours prioritaires, puisque sans eux, les livres n'existeraient pas. Ce sont mes moteurs !
J'ai hâte de lire votre entretien !!
A très bientôt.
Très sympa ce format d'interview!
RépondreSupprimerIl est certain que nos histoires personnelles interagissent avec ce que nous sommes/lisons/écrivons. On ne prend pas certains sujets au hasard, comme dans la vie en général. Ceci dit, je m'interroge sur ce qui attire Stephen King dans la "vraie" vie en me relisant ^^.
L'un est tissé avec l'autre, c'est certain <3
SupprimerEn effet, on se demande pour S.K, sans doute interroge-t-il certaines parts d'ombre en lui, comme nous avons tous !