mardi 29 mai 2018

Sainte-Odile, émotion pour cette 5ème édition

La belle librairie Au temps Lire a mis nos livres en valeur,
pour un avant-goût délicieux.


Mardi 15 mai, rencontres avec 5 classes de CM1 et CM2 :
pluie de questions et d'échanges.



Jeudi 24 mai, rencontre avec 6 classes de 6ème,
Certains élèves étaient extrêmement motivés,
car déjà grands lecteurs, écrivains ou poètes.
Deux secondes en moins les a attirés, questionnés, 
et a provoqué beaucoup de réactions.


Samedi 26 mai, salon du livre :
J'y ai retrouvé Marie Colot, bien sûr, 
avec une interview pour la radio RCF
réalisée très professionnellement par les collégiens.

mais aussi Maud Roegiers, l'illustratrice de La Pilote du Ciel,
et notre petite fan, Mathilde,


des lecteurs extras et passionnées
- je n'ai pas toutes les photos des nombreux collégiens
qui ont acheté Deux secondes en moins,
mais il n'en restait plus un seul sur nos tables-
alors MERCI pour ce formidable accueil de notre roman
Les inséparables Margaux et Morgane

Voici la chronique de Virginie, la libraire,
Deux secondes en moins vient de paraître aux éditions Magnard, s’adresse aux lecteurs dès 13-14 ans et nous a unanimement conquis. Au delà de son contenu très fort, la singularité de ce roman tient déjà au fait qu’il a été écrit à quatre mains. Il est en effet le fruit de la collaboration de la géniale Marie Colot, auteure phare des éditions belges Alice et de la douce Nancy Guilbert, auteur d’une cinquantaine d’ouvrages chez différents éditeurs. La complémentarité de leurs deux écritures est une évidence à la lecture de ce texte. Marie Colot et Nancy Guilbert sont justes et vraies. Elles transmettent les émotions sans détour mais avec une grande délicatesse qui ne tombe jamais dans le pathos. Elles touchent profondément et simplement.Leur roman réunit deux histoires, deux ados qui ne se connaissent pas, deux vies bouleversées et bouleversantes, deux voix qui alternent au fil des chapitres : celle de Rhéa et celle d’Igor. Pour Rhéa, c’est le suicide de son petit ami qui la fait sombrer dans l’incompréhension et la culpabilité. Igor, lui, a été complètement défiguré suite à un accident de voiture dont son père est responsable. Il oscille depuis entre colère, rancune et solitude. Les vies de Rhéa et Igor ont basculé en deux secondes. Les faits sont là, terribles, irréversibles. Les blessures sont béantes et pourtant il va falloir se reconstruire et continuer à vivre. Mais où trouver la force ? Comment y croire encore ? C’est là que Marie Colot et Nancy Guilbert excellent dans l’art de nous prendre par la main et de redonner la confiance et l’envie. Elles insufflent délicatement l’espoir au fil des pages grâce notamment à un certain Fred, grâce aussi à des partitions de piano mais cette chronique ne dévoilera rien de plus sur ce roman qu’il faut lire absolument. Il s’adresse aux ados, à ceux qui vont mal, à ceux qui vont bien. Il s’adresse aux parents, aux adultes, et jettent un pont nécessaire entre ces deux mondes. Ce roman est bouleversant, puissant, salutaire. D’aucuns le comparent déjà  à l’incroyable phénomène de Nos étoiles contraires et c’est tout l’avenir que l’on peut souhaiter à Deux secondes en moins et à ce subtil et talentueux duo d’écrivains.
Beaucoup de dédicaces ininterrompues



Toujours Mathilde, chroniqueuse en herbe 
Je lui ai emprunté les photos avec Marie Colot et Yaël Hassan

Et pour terminer, des cadeaux...
Du Thé des Sages (merci Natacha et Günes),
le recueil de poème du Club de poésie,

et les gourmandises sucrées de Mathilde.


MERCI à tous ceux qui nous ont offert
leur temps
leurs sourires
leurs mots doux.

MERCI à Natacha et à Günes, les géniales organisatrices,
 à la super équipe de libraires
de nous permettre de vivre ces moments hors du temps.

* A l'année prochaine, cher public *

vendredi 25 mai 2018

Les Incos : quand des rencontres prennent tout leur sens


ce vendredi 18 mai.
C'était la dernière, le jour de la clôture des votes.


Echanges, questions, intérêt, étoiles dans les yeux,
écoute attentive : du bonheur !

J'ai présenté les coulisses du Mur si haut,




 Nous avons parlé du Mur de Berlin, 

mais aussi de tous les murs qui divisent les populations.



Et puis, on a discuté de tous les autres albums

des traduits, de ceux qui font voyager, qui émerveillent ou font rire...


Merci à Louiza, à l'équipe du CC4Q et aux bénévoles
 pour ce moment particulièrement riche et bienveillant,
comme je les aime <3
mais aussi pour le reportage-photos.


Les Incos : quand toute une école met les livres à l'honneur

Je continue donc à partager les rencontres en images.

Le mardi 3 avril, à l'école de La source d'Awoingt,

* La classe des TPS-PS connaissait Petit-Arbre veut grandir sur le bout des doigts.



Ils avaient également fait la connaissance de Cali 
et nous avons pu écouter les chansons du livre-CD.



* Dans la classe des MS-GS
les enfants avaient observé les images du Pommier de Cali et inventé une histoire.
Là aussi, les chansons ont eu du succès !

* Les CP/CE1 avaient inventé une fin différente pour Un mur si haut
un très gros travail d'écriture et d'illustration individuels !



* Les CE1 et les CE2 avaient écrit des messages superbes


que nous avons découverts ensemble avec émotion.

Ils avaient également travaillé sur les émotions à partir de Ma liberté tout en couleurs.





 Ce roman à deux voix avait d'ailleurs été sélectionné pour
mais il n'a pas gagné ;-)


Lecture incontournable de L'Ourse bleue..

* Les CM1/CM2 m'ont bombardée de questions
 autour d'Un mur si haut, du métier d'auteure et de Mission Dinosaure  !

Merci à la chaleureuse équipe de l'Ecole de la Source
(ainsi qu'à la maman qui a préparé le repas),
et aux enfants motivés, curieux, intéressés.

Les Incos : quand les enseignants et les enfants s'investissent

Les votes sont clôturés depuis vendredi dernier, 
de nombreuses piste d'exploitation ont été réalisées 
par l'équipe dynamique des Incos.

 Extraits :



Quelque soit le résultat (résultats le 1er juin),
 je garderai un beau souvenir de ces rencontres,
et le mois de mai touchant à sa fin,
je trouve enfin le temps de les partager en photos.

Voici donc la suite des interventions de mars.

 FOURMIES, les 29 et 30 mars.

* à l'école Aragon, les enfants sont entrés en tenant leurs ballons-messagers
qu'ils ont accrochés à l'arbre en carton :


L'autre classe avait fabriqué un poème-acrostiche géant...


  
Nous avons écrit ensemble...

Après de nombreuses questions, ils ont écouté L'ourse bleue.


A l'école Prévert, l'après-midi,


les enfants ont mis en scène Un mur si haut :


puis lu avec fierté le poème que nous avons écrit :


 Pendant le temps du périscolaire
Annie et son équipe avaient travaillé sur Un mur si haut, elles aussi :
Les boîtes représentent l'univers des enfants.
Dans le trou, ils glisseront leur message <3

Les enfants ont choisi leur illustration préférée
et l'ont reproduite

Nous avons créé des ballons-messagers : 
je ferai un édit lorsque j'aurai les photos, 
ils n'étaient pas encore tout à fait secs !

Le vendredi, à Anor, dans les écoles D.Vincent et Petit-Verger,


(c)photos C.Marlin

(c) photos C.Marlin

ainsi qu'à Fourmies, à l'école Jean Macé,
les questions ont fusé, et les petits cerveaux, bien travaillé.


Bravo aux poètes en herbe !

 Merci à Quentin et à Véronique, 
aux enseignants bien investis, 
aux enfants enthousiastes !

Toutes leurs productions seront visibles pour l'exposition de fin d'année.